Frantz Fanon au combat, un psychiatre dans la guerre d’Algérie

LE 21/08/2020
En 1956, Fanon s’engage dans sa deuxième guerre. Cette fois-ci, ce n’est plus pour défendre les valeurs républicaines françaises face au fascisme mais…

Le nom de Frantz Fanon résonne à l’échelle planétaire, une référence incontournable lorsqu’on évoque la condition noire et la violence coloniale qui explose après la Deuxième Guerre mondiale.

En 1956 Fanon s’engage dans sa deuxième guerre. Cette fois-ci ce n’est plus pour défendre les valeurs républicaines françaises face au nazisme mais contre l’ordre colonial de l’empire français, sur le territoire où s’écrit la forme la plus violente de la domination européenne et de sa contestation : l’Algérie.

Le psychiatre devient moudjahid et Frantz Fanon devient Omar. De Tunis à Accra, en passant par le désert malien, les dernières années de sa vie sont une traversée du monde colonial en révolution. Dans les rangs du FLN, il œuvre désormais directement pour la révolution algérienne en tant que théoricien et toujours en tant que psychiatre.

LIRE LA SUITE

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *