Guerre d’Algérie, sur Arte et France 2 : une si difficile mémoire

Raphaëlle Branche et Rafael Lewandowski d’une part, Georges-Marc Benamou et Benjamin Stora d’autre part, retracent le réveil d’un peuple face à la puissance coloniale.

De ce passé qui ne passe pas ou si mal, cet abcès toujours à vif, comment faire œuvre de pédagogie ? Six décennies après la fin de la guerre d’Algérie, le temps presse pour transmettre aux nouvelles générations, non pas la mémoire – saturée de contentieux – mais le savoir minimal autour d’un conflit dont les acteurs et témoins se font de plus en plus rares.

Le soixantième anniversaire des accords d’Evian – signés le 18 mars 1962 – est l’occasion d’une production prolifique dont se détachent deux œuvres dans le registre du film documentaire : En guerre(s) pour l’Algérie, de Raphaëlle Branche et Rafael Lewandowski, et C’était la guerre d’Algérie, de Georges-Marc Benamou et Benjamin Stora.

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