Soixante ans après, la France commémore la fin de la guerre d’Algérie

Samedi, à l’occasion du 60e anniversaire des accords d’Evian et du cessez-le-feu en Algérie, le président français Emmanuel Macron a dit « assumer » ses gestes mémoriels parfois controversés et affirmé qu’il entendait continuer à « tendre la main » aux autorités algériennes pour « réconcilier » les mémoires.

Le président français Emmanuel Macron s’est montré samedi optimiste sur la « réconciliation des mémoires » sur la guerre d’Algérie, en disant « assumer » ses gestes mémoriels parfois controversés, à l’occasion du 60e anniversaire des accords d’Evian et du cessez-le-feu en Algérie.

Le chef de l’Etat, candidat à un nouveau mandat, a affirmé qu’il entendait continuer à « tendre la main » aux autorités algériennes, même si les initiatives prises depuis le début du quinquennat n’ont pas permis d’améliorer durablement les relations entre Alger et Paris.

« J’assume cette main tendue » à l’Algérie, a-t-il déclaré devant 200 invités réunis pour une sobre cérémonie au palais présidentiel de l’Elysée, à laquelle n’assistait aucun officiel algérien même si l’ambassadeur à Paris avait été invité.

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