La guerre d’Algérie à travers le regard des philosophes

Après des semaines de tension, la poignée de main entre le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot et le président algérien Abdelmadjid Tebboune est un geste hautement symbolique : le symbole d’une remise à plat des relations entre l’ancienne puissance impériale et son ex-colonie.

L’occasion de revenir, avec les philosophes contemporains de la guerre d’Algérie, sur la manière dont ils se sont engagés dans ce conflit – les uns défendant l’indépendance ou l’autonomie, les autres un État pluriel, critiquant ou justifiant la violence, mais tous happés par l’événement.

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